-« La cote de popularité du président François Hollande est tombée à 20 % »
- « Hollande, président le plus impopulaire depuis 1958 »
-« Le problème c’est aussi François Hollande »
-« Hollande fait ce qu’il sait faire de mieux : gagner du temps »
- « Hollande : « l'application du principe de Peter » (NDLR : «dans une hiérarchie, tout employé a tendance à s'élever à son niveau d'incompétence» et son corollaire : "Avec le temps, tout poste sera occupé par un employé incapable d'en assumer la responsabilité").
Ces titres et beaucoup d’autres encore inondent la presse.
Vous les avez eu vous-mêmes sous les yeux.
Ils sont régulièrement repris et copieusement nourris, tant par la politique de comptoir que par la politique de salon et surtout par la politique-spectacle de plateaux TV.
C'est-à-dire à tous les étages de notre société.
Tellement bien que même les plus proches collaborateurs du Président se trouvent pris par le doute sur le choix de leur leader.
Mais, nous rappelons-nous ces titres, pourtant pas très anciens ?
- « 64 % des Français sont mécontents de Sarkozy »
- « Sarkozy : pourquoi le monde entier semble le détester »
- « Sarkozy, voyou de la république » (Marianne 2010)
- « Sarkozy, Président-candidat le plus impopulaire de l'Histoire »
Mais comment donc le peuple français, légataire d’une si grande Histoire, peut-il se donner successivement des présidents aussi contestables, en tout cas aussi contestés ?
La réponse à cette question est si évidente qu’il est stupéfiant qu’elle ne soit pas affirmée clairement et plus souvent par les éditorialistes de toutes tendances.
Leur ferait-elle à ce point culpabiliser eux-mêmes?
Nous tenterons d'y répondre dans un prochain billet.
Notre espoir pour le changement ne repose sur aucune personne, d'un bord ou d'un autre, mais sur nous mêmes, le peuple... Tentons chacun d'embellir notre famille, notre maison, notre quartier, notre commune, notre canton, notre région et ce sera notre Pays qui en sera plus beau et plus fort.
RépondreSupprimerCertes Sigrid! Tout ceci est à notre portée. Il suffit de le vouloir, puis de le décider. Toutefois, jusqu'à quand accepterons-nous de subir l'effet des errances et des décisions absurdes qui plombent en ce moment nos cadres quotidiens de vie?
SupprimerMerci en tout cas de partager ce débat.