Nous savons que le foot est l’image de la société, d’une société en perdition, porteuse de sept plaies récurrentes dont il est utile de rappeler la liste :
- l’argent (ou plutôt le fric), la violence, la haine, le chauvinisme, la drogue, la triche et l’imposture.
Toutes les plaies d’une société que nous ne supportons plus et de laquelle nous cherchons en vain une porte valide de sortie.
UNE QUALIFICATION
MADE IN « IRLANDE 2009 »
Si le premier but de l'équipe de France ne souffrait d'aucune contestation, le second but a été marqué en position très nette de hors-jeu, rattrapant certes un but refusé marqué en position valide (merci à l'arbitre).
Que n’aurait-on écrit, que n’aurait-on braillé sur certains plateaux radiophoniques ou télévisuels, que n’aurait-on hurlé à l’injustice arbitrale, si c’était l’Ukraine qui s’était qualifiée de cette manière ?
- Osons-nous l’imaginer !
Un second but marqué par un défenseur contre son camp, sous pression d’un joueur français certes, mais tout de même !
Toutes les loupes télévisuelles disponibles ont été sollicitées pour attester que le joueur français avait tout de même « effleuré » le ballon lors de sa trajectoire vers le but et lui en accorder le crédit.
Que n’aurait-on écrit, que n’aurait-on hurlé si c’était l’Ukraine qui s’était qualifiée de cette manière ?
- Oserons-nous l’imaginer !
Nous le contesterons avec virulence, mais la victoire contre l’équipe d’Ukraine porte un sérieux goût de « main de Thierry Henri » en barrages face à l’Irlande en 2009.
Mais on pardonne tout au football français.
Si le premier but de l'équipe de France ne souffrait d'aucune contestation, le second but a été marqué en position très nette de hors-jeu, rattrapant certes un but refusé marqué en position valide (merci à l'arbitre).
Que n’aurait-on écrit, que n’aurait-on braillé sur certains plateaux radiophoniques ou télévisuels, que n’aurait-on hurlé à l’injustice arbitrale, si c’était l’Ukraine qui s’était qualifiée de cette manière ?
- Osons-nous l’imaginer !
Un second but marqué par un défenseur contre son camp, sous pression d’un joueur français certes, mais tout de même !
Toutes les loupes télévisuelles disponibles ont été sollicitées pour attester que le joueur français avait tout de même « effleuré » le ballon lors de sa trajectoire vers le but et lui en accorder le crédit.
Que n’aurait-on écrit, que n’aurait-on hurlé si c’était l’Ukraine qui s’était qualifiée de cette manière ?
- Oserons-nous l’imaginer !
Nous le contesterons avec virulence, mais la victoire contre l’équipe d’Ukraine porte un sérieux goût de « main de Thierry Henri » en barrages face à l’Irlande en 2009.
Mais on pardonne tout au football français.
UNE RUPTURE ASSUMÉE
Avec cette équipe qui n’a fait aucune rupture avec sa déplorable histoire, ne devons-nous pas nous préparer dès maintenant à un nouveau « Bus de Knysna » avant un nouveau Bloemfontein d’Afrique du Sud ?
La chance de l’équipe de France de foot eut été de faire une rupture radicale avec son passé... qui est toujours son présent.
Une rupture assumée, volontairement salutaire, pour sortir de la situation calamiteuse dans laquelle elle se traine depuis des années.
Cette rupture aurait pu venir d’une décision de la Fédération nationale. Elle aurait été courageuse et probablement respectée.
Courageuse et respectée car elle aurait dû faire le deuil de millions d’€uros promis à ses caisses. Ces millions qui noient le monde du football dans les bourbiers dans lesquels il continue à s’enfoncer aujourd’hui.
De ce côté là, il n’y a rien à attendre, hélas, des "sénateurs" de la FFF. Ils baignent dans une folie-des-grandeurs dans toutes leurs initiatives.
Avec cette équipe qui n’a fait aucune rupture avec sa déplorable histoire, ne devons-nous pas nous préparer dès maintenant à un nouveau « Bus de Knysna » avant un nouveau Bloemfontein d’Afrique du Sud ?
La chance de l’équipe de France de foot eut été de faire une rupture radicale avec son passé... qui est toujours son présent.
Une rupture assumée, volontairement salutaire, pour sortir de la situation calamiteuse dans laquelle elle se traine depuis des années.
Cette rupture aurait pu venir d’une décision de la Fédération nationale. Elle aurait été courageuse et probablement respectée.
Courageuse et respectée car elle aurait dû faire le deuil de millions d’€uros promis à ses caisses. Ces millions qui noient le monde du football dans les bourbiers dans lesquels il continue à s’enfoncer aujourd’hui.
De ce côté là, il n’y a rien à attendre, hélas, des "sénateurs" de la FFF. Ils baignent dans une folie-des-grandeurs dans toutes leurs initiatives.
UNE OCCASION MANQUÉE
L’autre chance de rupture aurait été l’élimination de la Coupe du Monde brésilienne dans le parcours qualificatif.
On aurait pu imaginer cette "période blanche" de quatre années comme une réelle opportunité pour balayer la situation en place et la plupart de ses acteurs capricieux ou corrompus.
Une opportunité pour construire une nouvelle mise en œuvre en France du sport le plus populaire du monde.
Une mise en œuvre des qualités et des valeurs qui sont celles du peuple de France. De ces valeurs que plus aucun président fusse t-il de la République, plus aucun responsable politique n’est capable de nous rappeler.
Cela ne se fera donc pas. C’est extrêmement regrettable.
C’est ce que l’on appelle en football …une occasion manquée.
on est tous d’accord pour dire que les maillots http://www.maillotdefr.com/france-c-28_43/ sont très chères… mais ça fait de s années que c’est comme ça…
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